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LEO d’UBA : la révolution des transferts d’argent intra-africains est en marche depuis le Cameroun

Une révolution silencieuse est en train de redessiner les contours de la finance africaine. United Bank for Africa (UBA) vient de franchir un cap historique : son assistant virtuel LEO devient le premier chatbot d’Afrique à permettre des transferts d’argent instantanés entre pays africains. Et c’est depuis le Cameroun que cette avancée technologique prend toute son ampleur.
Dans un continent où les transactions transfrontalières sont souvent synonymes de lenteur, de complexité et de coûts élevés, LEO change les règles du jeu.

Transférer de l’argent d’un pays africain à un autre ? C’est maintenant possible en quelques secondes !

Grâce à PAPSS (Pan-African Payment and Settlement System), une infrastructure de paiement panafricaine développée en partenariat avec la Banque africaine d'import-export, les clients camerounais d'UBA peuvent désormais envoyer de l'argent à l'étranger en monnaie locale et sans tracas de change.

Tout se passe via LEO, le chatbot intelligent d’UBA :

  • Une interface simple via l’application mobile UBA,
  • Une conversation intuitive,
  • Et en quelques clics, l'argent est transféré instantanément vers un autre pays africain.
C’est la fin des longues attentes, des frais de conversion, des files d'attente, et du stress inutile.

 

Une intelligence artificielle au service des Africains

LEO ne parle pas seulement anglais ou français. Il comprend également plusieurs langues africaines. Il ne se contente pas de répondre, il accompagne l’utilisateur, sécurise la transaction, la vérifie via reconnaissance vocale ou biométrique, et l’exécute en quelques secondes.

Avec cette avancée, UBA montre que la technologie bancaire de pointe n’est pas réservée à l’Occident, mais bel et bien conçue pour répondre aux réalités africaines.

Les bénéfices pour les entrepreneurs camerounais (et au-delà)

Pour les commerçants, PME et startups africaines, cette innovation est une aubaine :

  • Cash-flow optimisé : plus besoin d’attendre plusieurs jours pour recevoir des paiements de l’étranger.
  • Moins de frais : réduction significative des coûts de transaction.
  • Expansion facilitée : les barrières à l’entrée dans d’autres pays africains sont en train de tomber.
  • Transactions sécurisées : cryptage, biométrie, protocoles internationaux.

Un commerçant camerounais exportant au Ghana ou en Côte d’Ivoire peut désormais recevoir son paiement le jour même, en franc CFA, et sans intermédiaire complexe.
C’est une transformation profonde du quotidien des entrepreneurs africains.

Un pas décisif vers l’intégration financière africaine

LEO s'inscrit pleinement dans la dynamique de la zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), qui vise à fluidifier les échanges entre pays africains.
Avec une présence dans 20 pays, plus de 45 millions de clients, et plus de 25 000 collaborateurs à travers le monde, UBA se positionne comme un acteur central de cette intégration.
Le Cameroun, grâce à cette innovation, renforce son statut de hub stratégique en Afrique centrale.

Et vous, êtes-vous prêt à entrer dans une nouvelle ère des transferts d’argent ?

Pour les particuliers, c'est une facilité inédite pour envoyer de l'argent à la famille. Pour les entreprises, c'est un levier de croissance, de compétitivité et d'expansion régionale.

L’Afrique bouge. L’Afrique innove. Et cela commence souvent avec une idée simple : connecter les gens, sans frontière. LEO n’est pas seulement un assistant virtuel ; c’est le symbole d’une Afrique qui prend en main son destin économique grâce à la technologie.

Le futur des paiements africains se construit aujourd'hui.

Pour les entrepreneurs, les institutions et les citoyens, l’innovation de LEO n’est pas un gadget. C’est un outil stratégique.

C'est le moment pour chaque acteur économique de repenser ses flux financiers, d'exploiter la technologie, et de se positionner au cœur de la transformation digitale africaine.

Alors, comment allez-vous adapter vos habitudes de transfert d’argent ?

Et surtout, comment allez-vous tirer parti de cette révolution pour développer vos affaires à l'échelle africaine ?

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